II) b) L'age différencie les personnes avec des tenues vestimentaires différentes
Enfin pour terminer notre tpe nous allons voir que l'age différencie les personnes au niveau vestimentaire. La moyennisation de la société ayant fait disparaître pratiquement l'ensemble des classes sociales, les individus ne se distinguent donc plus par leur vêtement pour montrer leur classe sociale. On peut dire que maintenant c'est l'age qui différencie les personnes, en effet par exemple une personne de quarante ans ne s'habillera pas comme un jeune de quinze ans.
Le code des âges est bien connu et chacun porte les habits de sa classe d’âge. Les différences sont devenues très importantes : costume des hommes, robes et tailleurs des femmes, jean tee-shirt et pull des jeunes. Même les magasins de vêtements se sont spécialisés, car les clientèles d’âges différents ne supportent plus de se mélanger. Par contre certains adultes s’habillent comme des ados pour "faire jeune", alors que bien des jeunes portent des habits du troisième âge, avec les "chemises de papa", les lunettes de grand-mère et les divers styles rétro.
Pour ce qui est des personnes mature, c'est a dire après avoir passé le cape de l’adolescence, les styles vestimentaires ne diffères pas trop. En effet on peut simplement distinguer des différences vestimentaires pour les activités qu'elles soient sportives ou bien professionnels.
En revanche chez les jeunes on dénombre de nombreux styles vestimentaires. Les jeunes veulent se distinguer par le biais du vêtement, montrer qu'ils ne sont pas pareil...Mais chez les jeunes on ne distingue pas de classe sociale comme pour la bourgeoisie se sont surtout des effets de style. Par exemple il y a plusieurs sous culture comme les groupes gothique, hip-hop, hippie. Pour cela l’univers musical, en particulier, véhicule des images qui seront récupérées par les adolescents. Le style de tel ou tel rappeur, ou celui de telle ou telle chanteuse sexy se retrouve dans la rue. La publicité ne manque pas non plus de stratégies. Pour faire adopter son public cible, elle s’appuie sur quelques mots d’ordre comme le culte du héros – «Identifiez-vous à telle personnalité!» – la nouveauté, les modes – «Ne soyez pas ringards!» – l’attrait du plaisir – «Amusez-vous!» La combinaison de ces vecteurs donne ainsi le modèle du slogan publicitaire: «Imitez la star S, soyez in, achetez la marque M!»
Comme le disent les spécialistes, le choix vestimentaire des jeunes est fortement conditionné par la télévision, la musique ou les amis. Nous allons voir quelques style vestimentaire présent chez les jeunes mais également présent chez des personnes d'age plus avancé comme les "hippies"
Comme le disent les spécialistes, le choix vestimentaire des jeunes est fortement conditionné par la télévision, la musique ou les amis. Nous allons voir quelques style vestimentaire présent chez les jeunes mais également présent chez des personnes d'age plus avancé comme les "hippies"
PREPS
Une des façons de s’habiller, probablement le plus facile à identifier, est le style ‘prep’. Des ados pétris de culture télé qui ne vivent que de mode et ne parlent que de logos. Tous les signes extérieurs de richesse, portés avec ostentation. Débardeurs moulants et minijupes pour les filles. Ils viennent de milieux bourgeois et privilégiés et jouissent d’un fort pouvoir d’achat.Pour eux, bien s’habiller passe par des marques (Ralph Lauren, Prada, Burberry Paul Smith, Weston, Burlington…) Chemises, mocassins, imper, manteau, de préférence discrets et chers ; éventuellement style classique anglais. Leur style musical sera changeant et suivra ce que les radios jouent, encore là ils suivront la masse. Leurs temps libres se résument donc au shopping et aux sorties dans les discothèques. Bref, un des styles les plus conformes et superficiels. L’idéal de ce style? Bien paraître et ‘réussir sa vie’ selon les standards conformes de notre société… Cependant, si on est un peu plus rebelle, un style totalement à l’opposé des ‘preps’ s’offre à nous; les ‘punks’
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PUNKS
Si les ‘preps’ adhèrent à la société, l’acceptent sans poser de questions et aiment montrer leur pouvoir d’achat, les ‘punks’ font l’inverse. Les ‘punks’ soutiennent l’existence d’un mouvement musical basé sur des fondements philosophiques. Anarchisme (utopiste et humaniste), anti-sexisme, écologie et mise en avant du DIY – do it yourself, l’idée de ne pas attendre l’assentiment des détenteurs de capitaux (maisons de disques, groupes de presse) – pour créer, diffuser, prendre la parole. Là, évidemment, ça chatouille les institutions, d’autant plus que cette économie parallèle n’est pas basée sur le profit ! En bref, ils veulent se faire entendre et crier leur révolte par rapport à une société qui n’est pas du tout à leur image. Ils véhiculent aussi leur message par les pièces de vêtements et accessoires reliés au style punk, nous pouvons facilement les identifié à des groupes distincts. Dans une société où la mode, les tendances et les classiques (ex: complet-cravate) dictent notre façon de s’habiller, les jeunes de rues vont totalement à l’encontre des normes vestimentaires. Il s’agit là d’une certaine forme de marginalisation. Pour tous ces jeunes, le mode de relation inhérent au style punk renforce un système de repères renvoyant à des prégnances socio symboliques liées à la transgression des normes sociales inhérentes à une idéologie d’anarchisme (refus de toute autorité, de toute règle). Le style vestimentaire de ces jeunes est en quelque sorte une façon de contester l’autorité .
Une des façons de s’habiller, probablement le plus facile à identifier, est le style ‘prep’. Des ados pétris de culture télé qui ne vivent que de mode et ne parlent que de logos. Tous les signes extérieurs de richesse, portés avec ostentation. Débardeurs moulants et minijupes pour les filles. Ils viennent de milieux bourgeois et privilégiés et jouissent d’un fort pouvoir d’achat.Pour eux, bien s’habiller passe par des marques (Ralph Lauren, Prada, Burberry Paul Smith, Weston, Burlington…) Chemises, mocassins, imper, manteau, de préférence discrets et chers ; éventuellement style classique anglais. Leur style musical sera changeant et suivra ce que les radios jouent, encore là ils suivront la masse. Leurs temps libres se résument donc au shopping et aux sorties dans les discothèques. Bref, un des styles les plus conformes et superficiels. L’idéal de ce style? Bien paraître et ‘réussir sa vie’ selon les standards conformes de notre société… Cependant, si on est un peu plus rebelle, un style totalement à l’opposé des ‘preps’ s’offre à nous; les ‘punks’
. PUNKS
Si les ‘preps’ adhèrent à la société, l’acceptent sans poser de questions et aiment montrer leur pouvoir d’achat, les ‘punks’ font l’inverse. Les ‘punks’ soutiennent l’existence d’un mouvement musical basé sur des fondements philosophiques. Anarchisme (utopiste et humaniste), anti-sexisme, écologie et mise en avant du DIY – do it yourself, l’idée de ne pas attendre l’assentiment des détenteurs de capitaux (maisons de disques, groupes de presse) – pour créer, diffuser, prendre la parole. Là, évidemment, ça chatouille les institutions, d’autant plus que cette économie parallèle n’est pas basée sur le profit ! En bref, ils veulent se faire entendre et crier leur révolte par rapport à une société qui n’est pas du tout à leur image. Ils véhiculent aussi leur message par les pièces de vêtements et accessoires reliés au style punk, nous pouvons facilement les identifié à des groupes distincts. Dans une société où la mode, les tendances et les classiques (ex: complet-cravate) dictent notre façon de s’habiller, les jeunes de rues vont totalement à l’encontre des normes vestimentaires. Il s’agit là d’une certaine forme de marginalisation. Pour tous ces jeunes, le mode de relation inhérent au style punk renforce un système de repères renvoyant à des prégnances socio symboliques liées à la transgression des normes sociales inhérentes à une idéologie d’anarchisme (refus de toute autorité, de toute règle). Le style vestimentaire de ces jeunes est en quelque sorte une façon de contester l’autorité .
HIPPIES
Un autre style vestimentaire un peu en marge de la société, comme les ‘punks’, sont les ‘hippies’. Les Hippie sont essentiellement non violent et pacifiste. On reconnaît les Hippies par leurs styles qui se veut décadent (notamment reconnaissable par leurs punk).Le festival de Woodstock fût le point culminant de cette contre culture des années 1960. Ce rassemblement fût l`un des plus grands concert rock de son époque. Ils rêvent souvent à une société sans capitaliste et à un retour à la nature. Paix, harmonie, musique et égalité sont leurs mots d’ordre. Côté vestimentaire, ils ne portent pratiquement jamais de marques connues, préférant acheter des vêtements dans des friperies ou encore de les fabriquer eux-mêmes. La musique hippie reflète, malgré des influences blues et R&B, la volonté d`échapper au schéma traditionnel pratiqué depuis une décennie dans le rock et d`interpréter une musique plus libre autant dans la forme que dans le fond. De plus, la musique Hippie, s`est par ailleurs ouverte à d`autres musiques (indienne, africaine...). Les gens de style ‘hippies’ sont donc très ouverts et rêvent d’un monde meilleur.
Un autre style vestimentaire un peu en marge de la société, comme les ‘punks’, sont les ‘hippies’. Les Hippie sont essentiellement non violent et pacifiste. On reconnaît les Hippies par leurs styles qui se veut décadent (notamment reconnaissable par leurs punk).Le festival de Woodstock fût le point culminant de cette contre culture des années 1960. Ce rassemblement fût l`un des plus grands concert rock de son époque. Ils rêvent souvent à une société sans capitaliste et à un retour à la nature. Paix, harmonie, musique et égalité sont leurs mots d’ordre. Côté vestimentaire, ils ne portent pratiquement jamais de marques connues, préférant acheter des vêtements dans des friperies ou encore de les fabriquer eux-mêmes. La musique hippie reflète, malgré des influences blues et R&B, la volonté d`échapper au schéma traditionnel pratiqué depuis une décennie dans le rock et d`interpréter une musique plus libre autant dans la forme que dans le fond. De plus, la musique Hippie, s`est par ailleurs ouverte à d`autres musiques (indienne, africaine...). Les gens de style ‘hippies’ sont donc très ouverts et rêvent d’un monde meilleur.
HIP HOP
Un autre style vestimentaire auquel les jeunes peuvent adhérer qui implique beaucoup de facettes de la vie quotidienne, est le style ‘hip-hop’. Les adeptes - réels ou imaginaires - du mouvement hip-hop arborent survêtement Adidas, chaussures Nike, casquette Reebok. D’autres marques fréquemment portées par les jeunes adhérant à ce style : Dia, Royal Wear, Lacoste…Les fans de R’n’B eux portent des pantalons larges avec des t-shirts de baseball ou de basket portés en taille XXL et se coiffent de bandanas, de casquettes (les deux pouvant être superposés).Les bijoux ont une grande importance, ils/elles portent des diamants aux oreilles, des longues chaînes en argent soutenant des pendentifs imposants. Le hip-hop, quoi que musicalement très différent du ‘punk’, le rejoint sur deux aspects : l’importance de passer un message et le fait qu’adhérer à ce style, c’est adhérer à un style de vie. Communément envisagé comme phénomène de mode ou fait de société, le hip-hop est, avant tout, une culture. Musique, danse, expression graphique. Aujourd’hui, le hip-hop est tout à la fois un monde autonome et un discours sur le monde. Rafales de gros mots ou poésie de la rue, chant de révolte ou divertissement qui fait diversion, animation sociale ou esthétique de l’époque. Le hip-hop demande donc beaucoup en terme d’habillement, car il y a beaucoup de critères à remplir. Cependant, le sentiment d’appartenance est aussi grand, car on n’appartient pas seulement à un style, mais bien à une culture
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Un autre style vestimentaire auquel les jeunes peuvent adhérer qui implique beaucoup de facettes de la vie quotidienne, est le style ‘hip-hop’. Les adeptes - réels ou imaginaires - du mouvement hip-hop arborent survêtement Adidas, chaussures Nike, casquette Reebok. D’autres marques fréquemment portées par les jeunes adhérant à ce style : Dia, Royal Wear, Lacoste…Les fans de R’n’B eux portent des pantalons larges avec des t-shirts de baseball ou de basket portés en taille XXL et se coiffent de bandanas, de casquettes (les deux pouvant être superposés).Les bijoux ont une grande importance, ils/elles portent des diamants aux oreilles, des longues chaînes en argent soutenant des pendentifs imposants. Le hip-hop, quoi que musicalement très différent du ‘punk’, le rejoint sur deux aspects : l’importance de passer un message et le fait qu’adhérer à ce style, c’est adhérer à un style de vie. Communément envisagé comme phénomène de mode ou fait de société, le hip-hop est, avant tout, une culture. Musique, danse, expression graphique. Aujourd’hui, le hip-hop est tout à la fois un monde autonome et un discours sur le monde. Rafales de gros mots ou poésie de la rue, chant de révolte ou divertissement qui fait diversion, animation sociale ou esthétique de l’époque. Le hip-hop demande donc beaucoup en terme d’habillement, car il y a beaucoup de critères à remplir. Cependant, le sentiment d’appartenance est aussi grand, car on n’appartient pas seulement à un style, mais bien à une culture
. RAVEURS
Le dernier style vestimentaire est les ‘raveux’. Pour être ‘raveur’, il faut avant tout aller dans les ‘raves’. La force du rave est : celle d`atteindre des pics émotionnels, de suspendre temporairement les enjeux politiques, économiques et sociaux et ainsi, de favoriser une rupture avec la société et le quotidien. On considère les «ravers», ceux qui fréquentent les raves.
Nous pouvons donc dire que ce style vestimentaire est aussi un résultat de gens aillant un problème avec la société d’aujourd’hui, comme beaucoup d’autres style que nous avons vus plus tôt. Ce qui différencie la sous culture rave, c`est qu`elle ne s`oppose pas directement à la société dominante en faisant des déclarations politiques par exemple. Elle utilise la tactique du silence. On considère les «ravers», comme des gens qui ne veulent pas se conformer à notre société et à ses valeurs.On peut reconnaître les ‘raveurs’ à leur habillement souvent multicolore et à leur panoplie d’accessoires. Ils se confectionnent souvent des habits encore plus originaux lorsqu’ils vont à un rave, souvent encore plus colorés et agencés d’encore plus d’accessoires.
Le dernier style vestimentaire est les ‘raveux’. Pour être ‘raveur’, il faut avant tout aller dans les ‘raves’. La force du rave est : celle d`atteindre des pics émotionnels, de suspendre temporairement les enjeux politiques, économiques et sociaux et ainsi, de favoriser une rupture avec la société et le quotidien. On considère les «ravers», ceux qui fréquentent les raves.
Nous pouvons donc dire que ce style vestimentaire est aussi un résultat de gens aillant un problème avec la société d’aujourd’hui, comme beaucoup d’autres style que nous avons vus plus tôt. Ce qui différencie la sous culture rave, c`est qu`elle ne s`oppose pas directement à la société dominante en faisant des déclarations politiques par exemple. Elle utilise la tactique du silence. On considère les «ravers», comme des gens qui ne veulent pas se conformer à notre société et à ses valeurs.On peut reconnaître les ‘raveurs’ à leur habillement souvent multicolore et à leur panoplie d’accessoires. Ils se confectionnent souvent des habits encore plus originaux lorsqu’ils vont à un rave, souvent encore plus colorés et agencés d’encore plus d’accessoires.
Et enfin il y a la mode gothique qui doit son inspiration nottament grace a la musique et certain icone.
Ici nous avons montré en parti les styles les plus « accessible » chez les jeunes, les plus courants.
Il y a également d'autre distinction, par exemple les icônes de la mode, ou du cinéma qui répercutent leur style aux jeunes même au « star » futures.
Avec tous ces exemples, on pourrait croire donc a des sous culture (éléments culturels propres a un groupe donné : normes valeurs pratiques, qui partage cependant les traits dominant de la société a laquelle ils appartiennent). on peut constater une culture hip hop ou hippies par exemple parce que ces cultures sont marqué , mais beaucoup d’autre style n’ont pas vraiment de culture marqué , ce qui ne fait pas des sous culture pour tous .En revenant au hip hop c’est la société qui a rendu accessible cette sous culture.
Parallèlement des magazine comme marie claire présentant notamment chez les femmes une mode importante. Des magazine comme vogue, elle, inspirent les femmes environ a partir de 25 / 30 ans et plus.
De plus l’age est important, en effet un homme de 50 ans ne s’habillera pas comme un jeune de 18ans.
Les personnes beaucoup plus âgées auront une perception différente de la mode car ils ont appris a se différencier eux aussi lorsqu’ils étaient plus jeunes, par exemple quelqu’un de plus âgé aura encore des séquelles de la différenciation assez importante qu’il y avait autrefois des classes , aujourd’hui ils auront peut être pris l’habitude de se différencié différemment, et encore par rapport à leur jeunesse, il y aura méme parfois encore un langage différent , des façon de se tenir différente pour cause qu’il y avait de fortes différence entre ouvrier et autres etc. … on peut retrouver encore un langage ouvrier, paysans etc. … mais ce qui est entre autre très marquant c'est encore le style vestimentaire. Il y a répercutions de leur jeunesse.
On peut donc bien affirmer que l'age différencie les personnes , et que maintenant les gens et les jeunes adoptent juste des styles différents et non pas des styles montrant leur différence sociale.